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Nos conférences en vidéos

De nombreuses conférences sont proposées aux étudiants de nos trois filières autour de questions qui rejoignent et approfondissent les sujets vus en cours. Les vidéos de la plupart de ces conférences sont disponibles ici.

Mercredi 6 mars 2024

Une conférence de Sam Azulys est artiste peintre, réalisateur, scénariste et romancier. Il est également docteur en philosophie, auteur d’un essai d’esthétique sur le cinéaste Stanley Kubrick et professeur de cinéma à NYUP (New York University in Paris).

Jeudi 25 janvier 2024

Qu’est-ce que Guizot peut nous apprendre au sujet de la démocratie ? Une conférence de Raoul Moati, agrégé et docteur en philosophie. Il enseigne la philosophie contemporaine à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Jeudi 16 novembre 2023

Une conférence de Pierre Guenancia, spécialiste de Descartes et Pascal, autour de son dernier ouvrage « L’homme sans moi, essai sur l’identité ».

Jeudi 16 mars 2023

Une conférence de Paul Malliet, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), département analyses et prévisions.

Lundi 30 janvier 2023

A l’occasion du 4ème centenaire de la naissance de Blaise Pascal, Pierre Manent a publié un ouvrage intitulé « La proposition chrétienne. Nous l’avons interrogé au sujet de questions liées au programme 2023 de l’ENS : force et justice, les illusions du moi et enfin l’enquête menée par Pascal sur le monde humain et la religion chrétienne.

Jeudi 26 janvier 2023

Une conférence de Jean-Baptiste Noé, rédacteur en chef de la revue Conflits.

Lundi 28 novembre 2022

Bruno Dupré offre une remarquable analyse de la situation géopolitique de l’Union européenne face à la relance de la guerre russe en Ukraine. Il identifie cinq grandes incertitudes et dresse des perspectives. Le temps de la souveraineté, de l’autonomie et de la responsabilité stratégique est devant l’UE. Elle doit réduire ses vulnérabilités, ses dépendances dans les secteurs clés mais aussi développer une culture commune stratégique avec une vision globale.

jeudi 24 mars 2022

pourquoi les fondamentaux de l’Union européenne ne sont-ils plus adaptés au monde actuel ? Quelles sont les conséquences de la guerre en Ukraine pour l’Union européenne ? Pourquoi est-il encore plus urgent de changer les fondamentaux européens ? Au moment de la publication de « L’Europe : changer ou périr » (éd. Tallandier), Nicole Gnesotto répond clairement. Sans langue de bois.

Jeudi 6 janvier 2022

Impensé stratégique, comment le « crime en bleu » pénètre les interstices de la globalisation, tirant profit des flux maritimes du commerce international.

Avec le colonel François Manet, colonel de la gendarmerie nationale. Expert en analyse du risque maritime, il est l’auteur de nombreux articles dédiés à la criminalité organisée, à la cybercriminalité ainsi qu’au renseignement. Il a notamment publié un ouvrage fondateur, Le crime en bleu, essai de thalassopolitique, ed. Nuvis.

Jeudi 18 novembre 2021

La Glasnost de M. Gorbatchev, transparence ou désinformation ? Un éclairage sur le 30ème anniversaire de la fin de l’URSS.

Avec M. Pierre Verluise, professeur de géographie à l’ENC-Blomet, directeur du Diploweb et auteur d’une trentaine d’ouvrages de géopolitique dont deux sur l’URSS.

Jeudi 23 septembre 2021

Nous recevions l’ambassadeur Michel Foucher à l’occasion de la parution de son livre Arpenter le monde. Elle a rassemblé des étudiants d’hypokhâgne, de khâgne et de droit-économie ainsi que des lecteurs du Diploweb. Un vibrant plaidoyer pour la géographie qui permet d’articuler le temps et l’espace, l’efficacité de la lecture des cartes, le choix des échelles d’analyse et de réflexion, l’étude de la circulation des hommes, des biens, des marchandises, des idées … une géographie qui doit veiller à ne pas se perdre dans la géopolitique si elle veut continuer à inspirer le pouvoir. Gouverner, n’est-ce pas « faire la politique de sa géographie »?

Michel Foucher a introduit sa conférence par une magnifique citation du « Voyage » de Baudelaire, propre à susciter bien des vocations de géographes :

« Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes,
L’univers est égal à son vaste appétit.
Ah! que le monde est grand à la clarté des lampes! »

Aux yeux du souvenir que le monde est petit !

Lundi 28 septembre 2020

Une conférence passionnante d’Oliver Kempf, général de brigade (2S), docteur en Science politique et chercheur associé à la FRS, organisée par Diploweb.com et la Prépa Blomet (Paris) en partenariat avec le Centre géopolitique. Extrait du résumé par Anna Monti pour Diploweb :

Pour O. Kempf il existe trois angles majeurs à la puissance relative française. Le premier est la caractérisation de la puissance de la France, le deuxième est la sensation d’un déclin français, le troisième est relatif à l’expression future de ce rêve de puissance et à la stratégie à mettre en place. La France est une puissance géographique, économique, militaire, politique et d’influence.
Elle a longtemps repoussé ses frontières, au Nord, au Sud et à l’Est. La France est encore le plus grand pays d’Europe – si l’on écarte la Russie et l’Ukraine – grâce à sa taille et sa population projetée à 67 millions d’ici 2050. Elle est aussi un espace européen unique, au carrefour du continent grâce à ces deux isthmes, entre la Méditerranée et l’Atlantique et entre la Méditerranée et la Mer du Nord.C’est également la 6 ou 7e puissance économique, selon les critères retenus.

L’impression de déclin français est le reflet de la représentation collective de ce que le peuple français se pense être, une puissance perdue. Ce sentiment de régression est le fruit des deux grandes Guerres mondiales. Il est ensuite renforcé par les guerres de décolonisation. La puissance conférée par l’empire français n’est plus. C’est pourquoi Charles de Gaulle a fait le pari de […]

Résumé complet : https://www.diploweb.com/Video-O-Kempf-Quelle-puissance-relative-de-la-France.html

Conférence organisée le 28 septembre 2020. Images et son : James Lebreton. Montage : James Lebreton et Pierre Verluise.

Vendredi 11 septembre 2020
Le reflux de l’Occident est net pour Gérard Chaliand, géopoliticien spécialiste des conflits armés. Retraçant très clairement le contexte historique mondial des trois derniers siècles, il met en lumière le basculement des rapports de force mondiaux. On semble passer d’une incontestable domination à un reflux occidental, qui s’explique par une combinaison de facteurs : l’essor du nationalisme chez les populations auparavant dominées par les Européens et les Américains, semble être la cause principale de ce déclin. Cet entretien a été réalisé à l’occasion de la publication d’une somme de Gérard Chaliand, « Des guérillas au reflux de l’Occident, » Paris, Passé composé. Une coproduction Diploweb et ENC Blomet.

Lundi 2 décembre 2019
Pour penser la période contemporaine et l’avenir, bénéficiez des regards croisés d’une historienne du multilatéralisme et d’un praticien du multilatéralisme à l’ONU, à l’UE et au G7/8.
Un sujet majeur alors que la France tente de réinventer le multilatéralisme, notamment à travers le Forum de Paris pour la Paix.Avec Régine Perron et Alain Le Roy
Régine Perron est Maîtresse de conférences habilitée à diriger des recherches en Histoire des relations internationales à l’Université de Cergy-Pontoise.
R. Perron est spécialiste des relations internationales économiques entre l’Europe et les États-Unis, puis avec le Tiers-Monde. Elle s’intéresse au système international qu’est le multilatéralisme.Alain Le Roy est Ambassadeur de France. Il a été successivement, Administrateur régional de l’ONU au Kosovo, Représentant spécial de l’Union européenne en Macédoine, Directeur des Affaires économiques au Ministère des Affaires étrangères, Ambassadeur de France à Madagascar, Secrétaire général adjoint de l’ONU, Ambassadeur de France en Italie, puis Secrétaire général du Service européen pour l’action extérieur (Union européenne).

Mercredi 5 février 2020
Avec Clément Therme, docteur en histoire internationale de l’IHEID de Genève, chercheur post-doctorant au CERI et membre associé du CETOBAC à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS). Spécialiste du monde iranien, il a été auparavant chercheur à l’International Institute for Strategic Studies (IISS), assistant d’enseignement à l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID) à Genève, chercheur à l’Institut français de recherche en Iran à Téhéran et chercheur pour le programme Moyen- Orient de l’Institut français des relations internationales (Ifri).L’élimination par les États-Unis du général iranien Soleimani, le 3 janvier 2020, enclenche un regain de tensions au Moyen-Orient. C. Therme en donnera les clés pour comprendre un mois d’actualité mais aussi mettre en perspective l’Iran au Moyen-Orient.La République islamique d’Iran a une politique régionale qui pose la question du nationalisme à la fois à l’intérieur et à l’extérieur des frontières iraniennes dans les zones où Téhéran cherche à exercer une influence idéologique, sécuritaire et économique. Si la Révolution islamique a bien eu pour conséquence d’encourager les élites politiques des États du Moyen-Orient à utiliser les questions confessionnelles pour définir leurs identités nationales, force est de constater que, plus de quarante après la Révolution, l’influence régionale de la République islamique a désormais pour effet non-désiré de provoquer une réaction nationaliste populaire notamment en Irak et en Afghanistan.

Lundi 30 septembre 2019
Rencontre avec Emilie Richard, docteur en Géographie, attachée temporaire d’enseignement et de recherche à l’Institut d’études culturelles et internationales Saint-Quentin-en-Yvelines.
L’outre-mer français est soumis à des climats difficiles. La plupart des terres ultramarines sont situées dans des zones tropicales ou équatoriales (Caraïbes, Amérique du Sud, Océan Indien, Polynésie…) ; les autres relèvent de climats froids rigoureux. En outre, du fait de sa situation géographique, la France d’outre-mer est davantage exposée que la métropole à des risques naturels, cycloniques, sismiques ou volcaniques. Les inégalités qui sous-tendent la vulnérabilité de ces territoires soulignent l’idée essentielle que le risque est un objet politique.

Juin 2019
Rencontre avec la professeure Barbara Loyer, directrice de l’IFG de 2010 à 2018, auteure de « Géopolitique. Méthode et concepts », éd. Armand Colin.

Mars 2019

Rencontre avec l’ambassadeur Francis Lefebvre, professeur en questions internationales à Sciences po et professeur affilié à l’ESCP. Monsieur l’ambassadeur présente l’évolution des relations franco-allemandes depuis 1945, conjuguant les approches géopolitique et historique.

Janvier 2019

Les étudiants d’hypokhâgne participent à la rencontre organisée à l’Institut de Géographie autour du Recteur G-F Dumont. Le Recteur Gérard-François Dumont, Professeur émérite à l’Université de Paris-Sorbonne, innove dans cette conférence. Il démontre à partir de nombreux exemples combien les perspectives stratégiques sont dépendantes des dynamiques des populations.

Novembre 2018

Conférence de Yan Giron, expert maritime : « les outre-mers français et les menaces et risques maritimes ». Cette année les littoraux sont au concours de l’ENS, une belle opportunité pour faire la différence. Yan Giron décrit la composante maritime des outre-mers français, les risques rencontrés par le passé et ceux que l’on rencontrera demain. Illustré de nombreuses cartes. Yan Giron, est auteur du “Précis de la puissance maritime. Vers la faculté d’agir.“ RL21 éditions.

Octobre 2018

Une rencontre organisée dans le cadre des consultations citoyennes, et co-organisée par Diploweb et le Centre géopolitique à l’ENC Blomet.
La conférence introductive de N. Gnesotto fut brillante. Le public fut nombreux et de qualité. Les débats en ateliers ont été féconds.
A voir et à revoir !

Juin 2018

Les étudiants participent à la consultation citoyenne organisée dans leur locaux autour de la question de l’admission de nouveaux pays dans l’Union européenne.

Mai 2018

Ambassadeur et Secrétaire permanent pour le Pacifique, Christian Lechervy présente la situation géopolitique de la Nouvelle-Calédonie, de façon à la fois claire et précise. Une présentation documentée particulièrement bienvenue dans le contexte de la consultation référendaire fixée au 4 novembre 2018. L’occasion de découvrir comment s’organise déjà une souveraineté partagée.

Rédigé par Eric Barbier

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