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Les HK au Collège des Bernardins

Chaque année une équipe d’étudiants de chacune de nos trois filière prend en charge la préparation et l’animation d’un Mardi des Bernardins. Cette conférence prend place dans un cycle de rencontres organisé chaque mardi au Collège des Bernardins autour d’un sujet suscitant un dialogue entre l’Église et le monde contemporain.

La vie en prépa ne saurait se limiter aux seuls cours. Ces tables rondes participent donc de la vie intellectuelle, indispensable à tout étudiant de prépa !

Mardi 19 mars

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Une table ronde animées par les étudiants de classe préparatoire littéraire.

Baudelaire abandonne les vers au profit de la prose. Apollinaire retire la ponctuation d’Alcool juste avant sa publication. Les rythmes sociaux ont changé. Leur art se fait l’écho d’un monde qui se transforme.

Dans la préface des Petits poèmes en prose, Baudelaire cherche une poésie qui échappe aux mesures et s’adapte « aux mouvements lyriques de l’âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience ». La sensibilité exacerbée et la lucidité aiguisée de l’homme moderne a du mal à trouver son rythme : « C’est surtout de la fréquentation des villes énormes, c’est du croisement de leurs innombrables rapports que naît cet idéal obsédant.»

Apollinaire, à la suite de Cendras et du Coup de dés de Mallarmé veut coller au monde moderne et au cubisme. Il dit vouloir « machiner la poésie comme on a machiné le monde ».

Les nouveaux rythmes poétiques donnent forme à une expérience nouvelle.

Peut-on pour autant parler d’une adaptation de la poésie aux rythmes du monde ?

Ou, au contraire, les interrogent-ils ? A moins qu’ils ne les adoptent pour mieux s’en affranchir ?

Cette expérience poétique est-elle de même nature en musique dans laquelle, par essence, tout est rythme ? Traduit-elle ou nous détourne-t-elle des rythmes du monde ? Et qu’en est-il de la musique sacrée ? Sa finalité est-elle de nous détourner des rythmes du monde ou au contraire de les assumer pour les toucher le monde céleste ?

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La lecture est communément considérée comme étant une expérience silencieuse, éminemment intérieure et personnelle. Mais le livre est aussi l’instrument de la création d’un espace commun. Nos livres constituent un patrimoine rassemblant une communauté de lecteurs.

A partir de la lecture de quatre textes, par des étudiants d’hypokhâgne en spécialité théâtre, nous chercherons à mieux comprendre ce qu’est la lecture. Quelle différence entre la lecture à voix haute et à voix basse ? En quoi l’une et l’autre sont-elles propres à créer une communauté ? Enfin, alors que la lecture est largement concurrencée par les écrans, ne serait-elle désormais réservée qu’à une élite d’initiés ou encore un simple passe-temps solitaire ?

Le monde des livres, dans toutes ses dimensions, sera réuni pour répondre à ces questions :

Père Eric MorinPère Eric Morin, prêtre du diocèse de Paris et docteur en théologie biblique. Il enseigne au Collège des Bernardins. Il est directeur du Service biblique Evangile et vie et de la revue Cahiers Evangile.  Il est l’auteur de Saint Paul, serviteur de notre joie, aux éditions Parole et Silence.

Florence DelayFlorence Delay est une romancière française, membre de l’Académie française depuis 2000, et de l’Académie royale espagnole. Elle a notamment écrit des romans, des essais, du théâtre, et a traduit des textes de langue espagnole. Au cinéma, elle a incarné Jeanne d’Arc sous la direction de Robert Bresson.
Elle a obtenu le prix Femina en 1983 pour son roman Riche et Légère ainsi que le prix François-Mauriac en 1990 pour Etxemendi. 

Jean-Yves MassonJean-Yves Masson, est éditeur chez Verdier. Il est également écrivain, traducteur, critique littéraire et professeur de littérature comparée. Parmi bien d’autres œuvres, ses Neuvains du sommeil et de la sagesse ont été couronnés par le prix Max-Jacob, par le prix François Coppée 2008 (décerné par l’Académie française). Il est également membre de jury de plusieurs prix littéraires.

Arnaud ViviantArnaud Viviant est critique littéraire au Nouvel Obs, écrivain et psychanalyste. Il est, depuis de nombreuses années, présent à la tribune littéraire du Masque et la plume et tient une chronique littéraire sur France Inter, Un livre sous le bras. Il a publié de nombreux essais dont le Cantique critique en 2021 aux éditions La Fabrique. Il est également le fondateur et directeur de la rédaction de la revue Charles.

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Lundi 14 mars 2022 les étudiants d’hypokhâgne ont animé une table ronde réunissant quatre intervenants : un comédien, un danseur, un président d’opéra et un exégète. Chacun représentait une approche spécifique de l’interprétation. En introduction, l’atelier vocal de nos classes préparatoires s’est livré à un travail d’interprétation comparée. Entre choix et limites, liberté et fidélité … qu’est-ce qu’une interprétation réussie ?

Le débat était animé par des étudiants d’hypokhâgne.

Gil Isoart
Ancien danseur étoile est professeur de danse du Ballet de l’Opéra de Paris et professeur au CNSM, il est également chorégraphe et maître de ballet. Gil Isoart a été danseur soliste en tant que sujet de l’Opéra de Paris sous la direction de Rudolf Noureev et étoile du Ballet national de Nancy et de Lorraine sous la direction de Pierre Laclotte.

Nicolas Vaude
Comédien, il interprète de nombreux rôles au cinéma et à la télévision. Il a été récompensé en 1998 par le Molière de la révélation théâtrale, puis par deux autres nominations, il joue de nombreux rôles au cinéma et à la télévision. Thomas Römer, de l’Académie française, exégète est professeur au Collège de France depuis 2007,

Thomas Römer
Auteur de plus de trois cent cinquante publications scientifiques. Il a également contribué à la diffusion de ses recherches auprès du grand public, par la publication de livres comme La Bible, quelles histoires ! (Bayard, 2014) ou Les 100 mots de la Bible (Que sais-je, PUF, 2016).

Jean-Yves Larrouturou
Diplômé de l’École Centrale Paris, de Sciences po et est ancien élève de l’ENA. Il est actuellement président du Théâtre National de l’Opéra comique. Il propose également une émission « Mazette ! Quelle musique ! » chaque samedi sur France musique.

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Le pouvoir peut-il s’établir sans violence ? A-t-il un fondement naturel ? ou encore un fondement divin ? La question de la légitimité de l’autorité politique et de son exercice sera au cœur des échanges lors de cette table ronde, éclairée par une approche littéraire originale : Richard II, une des pièces historiques de William Shakespeare. La représentation de l’intrigue politique par le dramaturge anglais ouvre en effet de nombreux horizons philosophiques pour déterminer les conditions d’un pouvoir juste.

Le débat, animé par des étudiants d’hypokhâgne a permis de faire dialoguer deux intervenants :

Pierre-Henri Tavoillot
Maître de conférences en philosophie à l’Université Paris IV Sorbonne. Ses travaux portent sur l’éthique et la philosophie politique contemporaine et notamment sur l’art de gouverner. Il est, entre autres, l’auteur de Comment gouverner un peuple-roi ? Traité nouveau d’art politique (Odile Jacob, 2019) et de Qui doit gouverner ? Une brève histoire de l’autorité (Grasset, 2011).

Philippe Raynaud
Professeur des universités mais aussi politologue. Il est membre de l’Institut Universitaire de France. Auteur d’une trentaine d’ouvrages et de très nombreux articles, il est considéré comme un des spécialistes français du libéralisme. Il a dirigé avec Stéphane Rials le Dictionnaire de philosophie politique (PUF, 1996). Il a également publié Trois révolutions de la liberté. Angleterre, Amérique, France (PUF, 2009).

Notre soirée s’est déroulée le 15 mars 2021.

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Danse ou théâtre, peinture ou sculpture : que nous révèlent-ils du mystère du corps ?

Une danseuse sur le plateau. Des tableaux ou sculptures mis en scène par les étudiants de la spécialité théâtre.

Cinq intervenants pour croiser leurs approches, à partir de leurs disciplines respectives à partir des travaux présentés sur scène.

Une question : Corps en scène, corps représentés, que manifestent-ils de la réalité du corps de l’homme ?

Avec :

  • Anne-Claire Mangin, danseuse et comédienne, ancienne khâgneuse à Blomet,
  • Laëtitia Calmeyn, théologienne et professeur au Collège des Bernardins,
  • Catherine Chevillot, conservateur du patrimoine, directrice du musée Rodin,
  • Gil Isoart, professeur de danse du ballet de l’Opéra de Paris, chorégraphe et maître de ballet, ancien danseur-étoile,
  • Paul-Louis Rinuy, professeur d’histoire de l’art à l’Université Paris 8,
  • Alain Pochet, comédien et professeur de théâtre.

Collège des Bernardins
Lundi 27 janvier 2020, 19h-21h

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Le musée Jacquemart-André présente, du 21 septembre 2018 au 28 janvier 2019 une exposition exceptionnelle, Caravage à Rome, amis et ennemis, réunissant dix chefs-d’œuvre du maître milanais, réalisés au cours de son séjour romain, entre 1592 et 1605.Si l’exposition se concentre sur le dialogue entre les peintres romains, notre table ronde souhaiterait placer leur dialogue, leurs travaux et les innovations picturales de Caravage dans le contexte plus large de ces années qui suivent le Concile de Trente et la réforme artistique qu’il initie.

L’image conçue par Caravage, ses amis et ses ennemis est-elle désormais, unanimement, « un instrument pour unir les hommes à Dieu », ainsi qu’y invite le cardinal Gabriele Paleotti dans son Discorso inorno alle imagini sacre e profane, publié en 1582 ?

Dans quelle mesure le renouveau spirituel qui accompagne ce Concile, avec saint Charles Borromée et la réforme de la musique liturgique, saint Philippe Néri et la création de l’Oratoire, saint Ignace de Loyola et les Jésuites ?

La table ronde ponctuée d’interprétations d’œuvres de Palestrina, réunira

  • Pierre Curie, conservateur au musée Jacquemart-André, co-commissaire de l’expostion Caravage à Rome,
  • Père Yves Trocheris, oratorien, curé de Saint-Eustache,
  • Camille Villanove-Vier, musicologue,
  • Mathieu Lours, historien et historien de l’art.

Choeur interprétant des œuvres de Palestrina, composé de Marthe Davost (soprano), Gaël Lefèvre (alto), Damien Rivière (ténor), Charles Wattebled (basse).

La table ronde sera animée par des étudiants d’hypokhâgne en option histoire des arts.

Collège des Bernardins
Lundi 14 janvier 2019 à 19h – Grand amphithéâtre
Cette soirée est ouverte à tous les publics.

Cette soirée, à laquelle deux romancières, Sylvie Germain et Claire Daudin, sont invitées, posera la question de l’horizon spirituel et théologique du roman contemporain.Comment la fiction romanesque peut-elle être le lieu d’une vérité ou d’une expérience spirituelle ? Comment le romancier peut-il faire « parler » Dieu ?La quête des personnages et la trajectoire du récit sont en eux-mêmes porteurs d’interrogations sur la vie et la mort, sur le sens de l’existence. Le débat, mené avec les étudiants d’hypokhâgne, portera également sur les références aux textes bibliques et sur les procédés d’écriture qui permettent à ces traces de Dieu de s’incarner dans l’écriture romanesque.

« Si le fait théâtral, comme le dit Balthasar, « nous délivre à chaque instant de la contrainte et de l’inertie de concevoir l’existence comme une chose fermée et repliée sur elle-même », il revient donc à ses comédiens de nous révéler la singularité absolue du fait pour nous d’être là, dans le monde et en sa promesse. Voilà notre soirée ainsi consacrée au mystère du théâtre – ou au lien profond qui unit expérience théâtrale et expérience spirituelle. Plusieurs acteurs nous présenteront alors le chant intérieur dont témoigne leur jeu et que manifeste leur joie d’être en scène, c’est-à-dire d’être poétiquement là, et d’être nécessairement là.

Avec la participation de :

Mickaël Lonsdale
Les films dans lesquels il tourne sont d’une extrême variété. Le comé­dien fait preuve d’une grande ouver­ture dans ses choix artis­tiques. Il joue aussi bien dans des films « d’avant-garde » que dans de grosses produc­tions holly­woo­dienne, comme un James Bond en 1979, ou Munich de Steven Spiel­berg en 2005.

Il multi­plie égale­ment les rôles au théâtre, inter­pré­tant des textes de Duras, de Beckett ou encore de Tche­khov. En 1972, il a notam­ment fondé une compa­gnie de théâtre musi­cal, le théâtre des Ulis avec Michel Puig. Cepen­dant, il ne s’en tient pas à l’inter­pré­ta­tion, il est aussi metteur en scène : sa dernière pièce en date est L’amante anglaise de Margue­rite Duras en 2013.

En 2011, il remporte le César du Meilleur Second Rôle mascu­lin pour Des Hommes et des Dieux de Xavier Beau­vois. C’est le premier César de sa longue et proli­fique carrière.

 

Marie-France Ionesco
Eugène Ionesco,
écrivain passionné de littérature a transmis ses goûts à sa fille Marie-France. Il lui lisait des histoires et des contes le soir en s’éclairant à la bougie pour créer une atmosphère propre à l’imagination. Marie-France Ionesco est devenue professeur de lettres et traductrice du roumain au français. En 2004, elle écrit une biographie de son père qui met également en lumière ses œuvres multiples, s’appuyant sur de nombreux documents inédits. En 2009, elle participe à l’organisation de l’exposition célébrant le centenaire de son père à la Bibliothèque nationale de France.

 

Françoise Thuriès
Françoise Thuriès est une actrice de théâtre depuis toujours. Elle a joué avec les plus grands (Françoise Seigner, Francis Huster, Robert Hossein, Jean Louis Barrault) et a incarné de nombreuses héroïnes classiques (Racine, Corneille, Shakespeare, Dostoïevski) et contemporaines (Beckett, Cocteau, Rilke).

Françoise Thuriès est comme « abonnée » aux saintes femmes depuis quelques années : Rôles principaux dans une pièce sur Thérèse d’Avila, Thérèse de Lisieux, elle a ensuite affronté seule le public dans la crypte de Saint-Sulpice en déclamant des textes sur Marie, puis en incarnant Madeleine Delbrêl.

 

Salomé Lelouch
Enfant du sérail, Salomé Lelouch naît le 25 juin 1983 à Paris au sein d’une famille d’artistes. Son père, le réali­sa­teur Claude Lelouch et sa mère l’actrice Evelyne Bouix lui donnent un patro­nyme qui comporte treize lettres, chiffre fétiche de la famille.

Férue de théâtre, elle aime tout l’univers qui s’y rattache, plus encore que d’être sur scène.

En 2003, elle prend tout natu­rel­le­ment les rênes du Ciné 13 Théâtre. Nichée au coeur de Mont­martre, elle se consacre alors à la program­ma­tion et à la produc­tion des spec­tacles de ce théâtre indé­pen­dant, qui appar­tient à son père. Passion­née, elle s’attèle à la mise en scène de spec­tacles desti­nés au jeune public (Un amour de sorcière, La forêt magique), puis elle se lance dans l’écri­ture et, à 26 ans, met en scène sa première pièce; Qu’est-ce qu’on attend? (2009).

« A l’occasion du 400è anniversaire de la mort de Shakespeare, les classes d’hypokhâgne assisteront à la représentation en plein air de Romeo and Juliet (Tower Theatre Company) qui aura lieu le samedi 11 juin à 15h30 au Pré Catelan, dans le Théâtre de Verdure du Jardin Shakespeare. »
Cette représentation sera suivie d’une table ronde mercredi 15 juin de 14h à 16h. Luna Benhamou et Alain Stricker proposeront une double lecture de la tragédie de William Shakespeare mise en scène par la Tower Theater Company au Pré Catelan.
Temps et contretemps : de Romeo à Grégoire XIII
Selon Denis de Rougemont (L’Amour et l’Occident 1939) Romeo et Juliette revisite le mythe de Tristan et Yseult : si tel est le cas on peut se demander pourquoi il a choisi de rebaptiser les amants («What’s in a name?»), qui le disputent désormais en célébrité à leurs illustres ancêtres littéraires, et de situer sa tragédie dans l’Italie du XVI° siècle.
L’étudiante de théâtre et le critique littéraire tenteront donc de mettre en lumière l’influence du bouleversement profond engendré par la Renaissance sur cette ré-écriture à la fois insulaire et européenne, et tâcheront d’apprécier les apports de la mise en scène à ce drame éminemment romantique, d’une poésie à nulle autre pareille.
«Protagonistes»
Luna Benhamou est une ex-khâgneuse de l’option théâtre du Lycée Blomet, désormais étudiante au CELSA et actuellement en stage à la Comédie Française.
A la fois metteur en scène et comédienne, elle travaille à la production des Contes d’une révolution, pièce qu’elle a adaptée des Mémoires d’une marionnette de Parviz Kharzaï et des Bonnes de Jean Genet (Première prévue fin juin).
Alain Stricker est professeur de Chaire Supérieure en khâgne au Lycée Blomet : chargé des cours de littérature en option anglais depuis plusieurs lustres, il a eu l’occasion de dispenser bon nombre de cours sur le théâtre du «Barde», et sa longue expérience lui confère sans conteste la qualité d’amateur éclairé de Shakespeare.

Lundi 14 mars 2016, à 19h, au Collège des Bernardins

Un regard croisé autour du film de Kieslowski, faire réfléchir sur une lecture spirituelle possible de ce premier volet de la trilogie, avec autour de la table des professeurs de lettres et de philosophie, un cinéaste et un théologien.
Il ne s’agit pas d’une projection, les participants doivent avoir vu le film avant la table ronde.
Trois extraits seront proposés afin d’en offrir une interprétation, en s’appuyant sur l’image, les dialogues, la musique.
Ces présentations seront suivies d’exposés sur l’œuvre de Kieslowski : le choix de la couleur bleue, le lien entre image et parole, et une mise en perspective théologique.

Lundi 2 mars 2015, à 19h, au Collège des Bernardins

Autour de l’œuvre du poète Jean-Pierre Lemaire.

Comment la Bible inspire-t-elle les artistes ?
Avec la participation de Jean-Pierre Lemaire, Grand prix de poésie de l’Académie Française 1999 pour l’ensemble de son oeuvre ; Sylvie Bethmont, enseignante à l’ENC et à l’École Cathédrale ; Père. Eric Morin, Directeur des cours publics à l’École Cathédrale ; et la participation des étudiants de l’ENC, Blomet.

Rédigé par Eric Barbier